Le problème avec ce film, c’est que dès le début les actrices jouant les filles des deux pères, vont sur jouer. Que ce soit dans la manière de parler, de rire, d’être bourrée. Néanmoins cela peut avoir un cote positif quand il s’agit de montrer l’immaturité de l’enfant, sur la fille encore mineur.
Le film nous montre un homme presque victime des avances d’une enfant, se défendant comme il peut mais ne résistant qu’après avoir céder. Un film hypocrite, au message perturbant quand à la fin le père de la fille concernée décide de « passer l’éponge » après avoir appris la vérité.
En effet, la victime et l’adulte se regarde dans les yeux l’air de nous dire on peut continuer.
Le seul moment intéressant c’est quand la mineur va voir son amie (fraîchement majeure), elle va lui parler pour s’excuser et celle-ci lui rétorque « mais c’est pas ta faute, tu sais c’est lui l’adulte ».
Une phrase qui veut tout dire, étant essentielle notamment pour rappeler au victime de pedophilie qu’elles n’ont rien fait de mal. L’adulte doit mettre des barrières, il doit protéger l’enfant pas en abuser.
Ce film illustre comment un homme mûr, va profiter de la faiblesse et de l’égarement d’une gamine de 17 ans pour lui faire miroiter un avenir avec lui , dans le seul but de savourer ses fantasmes. Pour finir sur une note pedophile suggérant une possible idylle entre eux.