Après L'Heure Suprême, ce film vient clore ma soirée « Le Féminisme c'est fantastique ». Doris Day, toujours aussi disgracieuse et agaçante, rencontre par hasard le beau Cary Grant. Lui patron de boîte, elle sans emploi. Lui fait semblant de s'intéresser à elle car il la prend en pitié et elle tombe dans le panneau. Elle pense ne pas être à la hauteur de la thune et le pouvoir de son prétendant.
C'est lent, c'est vain, ça manque cruellement de rythme et les gags tombent tous à plats. De plus la morale est plus qu'obscure. En effet, que pensez lorsque le personnage de Cary compare celui de Doris avec un chaton désarmé mais agressif ? On veut s'éloigner de l'animal tout en souhaitant s'occuper de lui pour pas le laisser crever.
Magique. La femme a encore le beau rôle.
Au final on se demande ce qu'ils se trouvent mutuellement. Encore le joli cliché des extrêmes qui s'attirent.