Clint Eastwood essaye de nous refaire du Gran Torino. Il ne le fait pas très bien. Justin Timberlake joue l'acteur à midinettes. Assez mal. Robert Lorentz tente de surfer sur la vague Moneyball. Lamentablement raté.
On est là, calé dans son siège, à souffrir, désespérer, subir les canons éculés de ce mauvais pastiche, attentant avec impatience que le calvaire se termine quand... à la fin du film, pendant la réunion où le méchant directeur du recrutement va se faire virer... une femme me fait bondir. Wo. Quelle sublime laideur que cette apparition ! Je ne suis même pas sûr que ce soit une femme.
Le meilleur moment du film, sans aucun doute.