La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Le premier long-métrage du cinéaste turc Emine Emel Balci décrit la course sans fin d'une jeune fille qui pourrait être une sœur de Rosetta. Jusqu'à en perdre haleine comme le dit justement son titre en anglais. Le même style naturaliste est à l’œuvre décrivant une sorte de soif d'amour de son héroïne, pour son père, qui lui fait faire tout et n'importe quoi pour attirer son attention. Le film n'est qu'une suite de désillusions pour ce personnage de guerrière qui s'époumone en vain. Les scènes s'enchaînent dans une continuité disloquée sans que l'on ressente énormément d'attirance pour Until i lose my breath, trop caractéristique d'un cinéma signifiant pas très agréable à regarder pour sa tonalité systématiquement dramatique et désespérée.
Créée
le 27 avr. 2020
Critique lue 70 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
73 j'aime
14