(Micro Critique Flash, forme à revoir)
L'histoire contée et rendue célèbre par Quint dans les dents de la mer.
Certains effets numériques sont dégueulasses (la plupart, même, dès la première seconde, on sait où on met les pieds), dignes des productions Asylum... Incompréhensible pour un film qui a tout de même coûté la bagatelle de 40 millions de dollars,
(big up au mec torse nu qui court avec le coude en feu lors du torpillage japonais, des flammes en GIF, j'fais mieux en 2h sous after effect... Ça a dû être ajouté à la dernière minute sur demande des studios, c'est pas possible, ils devaient trouver le plan trop anecdotique, surtout que quelques secondes plus tard, on a droit à de vrais cascadeurs qui se sont foutus le feu, à l'ancienne.. Et puis faut qu'on m'explique comment un coude pourrait brûler comme une bûche en pratique... Sans avoir le bras enduit d'essence ou autre accélérant, j'vois pas)
et pour être plus aguicheur, plus vendeur, les seuls squales qui attaquent tout du long sont des grands requins blancs...
(alors que je ne pense pas qu'il y en ait énormément dans ces eaux là... J'pencherai plus pour des peaux bleues ou des requins tigres... En principe, les mers des Philippines, ce sont des mers chaudes, quoi... Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de requin blanc, on en trouve dans toutes les mers, même en Méditerranée, mais bon)
Edit: d'après Wikipédia, il s'agissait essentiellement de requins pointes blanches... C'est sûr, c'est tout de suite moins stylé et photogénique que des grands requins blancs...
Mais ça n'empêche pas le film, malgré ses relents de nanar, d'être plutôt intéressant à suivre, car tiré d'une histoire vraie. À condition de savoir démêler le vrai du faux, évidemment.
Inutile de vous prendre la tête avec les raccords de stock footages non plus. Des requins random filmés en contre jour deviendront subitement des grands requins blancs qui ouvrent grand la gueule pour becter d'un plan à un autre!