Vive volonté d'oeuvrer sur mon vocabulaire.
Voilà qu'en cette critique vespérale, je vais vous pourvoir mon avis sur V pour Vendetta. Voyez-vous, je n'ai pas eu l'éventualité de voir auparavant la BD. Je vais, tout de même, vous avouer mes éprouvés, vaille que vaille.
V, un valeureux vagabond vaillant et virtuose, vêtu d'un masque veut faire valoir la justice dans un univers dirigé par le vénal, verreux et vicieux Sutler. Il va vagir sa vision du pouvoir actuel pour développer chez les habitants une envie de révolte, dans le but de vaincre ce despotisme. V va trouver la veule Evy lors d'une veillée. Suite à une scène véhémente où V aura renforcé sa viabilité, Evy, devenue valet de V, va virer sa cuti et ensemble, vont véhiculer la révolte et vitupérer contre le vilain pour achever la vendetta.
La vive Portman est convaincante mais elle se fait volontiers voler la vedette par le vivifiant Weaving.
Pour parachever, la fin de cette œuvre, digne de Vaudeville de par le valeureux V, nous délivre un vestige de vague à l'âme et l'envie de vociférer vis-à-vis de ces avilissants souverains.
Je vais vélocement mettre fin à votre géhenne et achever ce verbiage versifier qui n'est qu'une vile inspiration d'une entrevue entre V et Evy.