J’ai adoré l’histoire d’un potier envoûté par le fantôme d’une femme brillamment mise en scène dans Ugetsu monogatari.
L’histoire d’un fantôme dans le décor du Japon moderne ne fonctionne pas, car il manque un “je-ne-sais-quoi” de magique. Ce fantôme répare l’ordinateur d’un marchand de journaux, s’improvise cuisinier, etc. Pas très poétique tout cela. Certains s’extasient, mais pas moi.
J’ai vu un mauvais road movie d’un couple qui essaie de renouer après une rupture.
Lire : Marie LAUREILLARD, Vincent DURAND-DASTÈS, Fantômes dans l'Extrême-Orient d'hier et d'aujourd'hui, 2017 [Partage en ligne].