Un jeune couple dans un univers duquel ils ne peuvent sortir et qui reviennent au point de départ à chaque tentative, m'a inévitablement fait penser à la série "Le prisonnier". Mis à part le fait que Patrick Mc Gohan vivait dans un joli village et avait des voisins .
Vivarium ne nous offre même pas le visuel. Un décors de banlieue dortoir à l'anglaise ou toutes les maisons se ressemblent , personne, chacun chez soi. Notre société vue par le petit bout de la lorgnette ou tout le monde s'ignore, rêve de s'embourgeoiser , en respectant les rôles clichés du père au boulot et de la femme à la maison élevant un horrible gamin forcément un extra terrestre carrément antipathique .
Tout le monde à pu interpréter en fonction de son idéal philosophique ou son ressentie . Quoi qu'il en soit, Vivarieum ne me laissera pas un souvenir impérissable
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Daubes internationales
Créée
le 30 mai 2021
Critique lue 199 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Vivarium
Je me souviens qu'avec quelques amis nous nous étions fait la remarque que l'on était enfin face à une bonne bande-annonce : une BA qui n'en dit pas trop, évoque juste les thèmes et le début du film...
Par
le 12 mars 2020
76 j'aime
15
Le film d’épouvante, et d’une manière plus large, la fiction, fonctionne toujours sur le principe d’une excroissance : l’hyperbolisation d’un phénomène sur lequel on ferait un zoom pour en déceler le...
le 1 avr. 2020
65 j'aime
6
Il y a des films qui résistent étrangement à l’appréciation. Des films que l’on pourrait aimer, qui semblent relever d’intéressantes réflexions, de pertinentes questions… On pourrait les apprécier...
Par
le 16 avr. 2020
55 j'aime
4
Du même critique
Bravo au travail des artistes qui se sont démenés pour nous rendre un film en visuel d’une rare qualité. Par cette idée géniale de faire revivre les toiles de Van Gogh par le truchement de...
Par
le 12 nov. 2017
12 j'aime
Série australienne rondement menée et inspirée des romans de l'auteur australienne Kerry Greenwood. Phrany Fissher, une femme de la bonne société de Melbourne, est traumatisée par la disparition de...
Par
le 18 mars 2016
10 j'aime
4
Série franchouillarde rigolote certes mais qui ne met pas les neurones en surchauffe. Quelques bons moment mais pas suffisant pour rire à se décrocher la mâchoire ni s’abimer les mains en les...
Par
le 7 juil. 2019
8 j'aime
9
