La Galice jusqu'à l'hallali
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"La fureur de vivre de la nouvelle génération" proclamait la publicité du deuxième long de Schlöndorff. Très exagéré et inexact. Le réalisateur se sert d'un fait divers pour enregistrer la dérive de deux garçons et d'une fille qui doivent se débarrasser d'un cadavre. Cyniques, désabusés et amoraux, ils sont observés de manière clinique par Schlöndorff qui ne réclame ni sympathie pour eux, ni compassion. On n'est pas si loin du climat des futurs Haneke. Etonnant de la part d'un cinéaste qui avait débuté très fort avec Les désarrois de l'élève Törless et qui semble faire preuve ici de peu d'ambition. Oeuvre estimable, cependant, pour sa mise en scène et le jeu d'Anita Pallenberg, compagne de Brian Jones, des Stones, qui signe une B.O assez insignifiante.
Créée
le 31 juil. 2019
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