Cette critique sera le point de départ d'une dégénérence inversée.
Un retour en arrière d'une année, critique après critique jusqu'aux origines.
Car c'est Vortex qui s'est imposé pour son écriture.
Deux symboles, dans deux écrans. Un écran italien, avec Dario Argento et un français avec Françoise Lebrun.
C'est ainsi qu'ont atteris ces deux icones au milieu d'une icône du crack: porte de la Chapelle.
Ca peut vous paraitre cruel de la part de Noé, comme tout ce qui vient de la part de Noé, mais est il un enfant cruel?
Je me suis longtemps posé la question, car il a beaucoup fait de mal à mon esprit.
Mais pour celui là, je pense qu'on change radicalement la personne à qui il parle.
Ce film est un dialogue à sens unique entre un caméra et deux personnages.
Ces caméras qui demandent aux personnages de changer, de s'entre-aider. De reprendre du bon bout leur vie.
En fin de compte les petits vieux, ne l'écoutent pas, ils continuent vitesse grand V.
Ils sont seuls, écartés par le cadre. Ils sont dans deux dimensions différentes et cette profonde solitude parle du couple plus que jamais.
C'est, je pense, le film le plus fort du bonhomme, parce qu'il tente de communiquer avec les personnages. Et c'est un travail très difficile en tant que cinéaste, de tenter le dialogue avec des hommes de papier.
C'est un travail très difficile de spectateur surtout. Car les hommes de papier n'ont pas d'oreille et la frustration se fait ressentir.
Mais c'est un travail de fils, de continuer à ses parents et le personnage de Lutz illustre cette peine absolue quand l'échec se fait ressentir.
Apre et si beau
Un film à voir pour se rendre compte qu'on est bien peu de chose