Wall Street - L'argent ne dort jamais par artificier
Le temps a passé. Gordon Gekko a purgé sa peine, laissant la finance aux mains d'autres spéculateurs qui ont rendu le monde financier encore plus détestable.
Mais plus détestable encore, c'est qu'Oliver Stone nous ressorte un scénario quasiment identique à Wall Street, premier du nom. On prend l'année 2008 et la crise des subprimes (l'immobilier), on reprend un petit trader qui veut monter (Shia LaBeouf que je ne peux toujours pas supporter), on le fiance avec la fille de Gekko histoire de rajouter une trame familiale parallèle à la trame financière et on saupoudre le tout de modernité (la puissance d'internet, les traders qui se suicident).
Le meilleur ? La scène finale, tout simplement gerbante.