En filagramme des intentions louables puisqu'il s'agit de dénoncer l'hégémonie des multinationales sur le tiers-monde, et le début du film se laisse regarder malgré les lourdeurs car on a envie de savoir où on veut nous emmener et puis il y a Hillary Duff. Le problème c'est qu'au bout de 45 minutes on a fait le tour de la question, après ça tourne en rond, les situations se voulant comiques tombent à plat, le film n'a plus rien à nous dire sauf ce qu'on pressentait déjà, et on a qu'une hâte que cette bouillie se termine.