La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
1967, après la guerre des six jours. Tarek, jeune réfugié palestinien, vit dans un camp avec sa mère en Jordanie. Il s'enfuit et partage l'entraînement de fedayins. Il y a dans le film de Annemarie Jacir comme une douceur extérieure qui s'oppose à la violence intérieure de l'exil. Tarek est un personnage magnifique, un enfant dont l'amour fusionnel avec sa mère ne lui fait pas oublier que sa maison est de l'autre côté de la frontière et que son père est absent. S'il manque de force narrative, le film séduit par sa mélancolie et son sens de l'espace.
Créée
le 28 mai 2018
Critique lue 457 fois
1 j'aime
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13