Qu'on veuille réécrire l'histoire du petit occidental perdu qui se trouve un second souffle a l'étranger, qu'on joue de tous les clichés pour créer un film en deux temps...et puis merde. Walter Mitty avait au moins l'avantage d'utiliser les décors pour un discours en respect avec son environnement. Là, tout n'est que prétexte à racconter les mêmes histoires sans réellement de préoccuper de l'horreur qui sert de simple décor. Difficile de pardonner a un énième film américain de ne soucier que des américains. Sur le journalisme pas un mot du dilemme des journalistes embarqués, il semblerait que n'importe qui peut devenir journaliste de guerre, les militaires sont cools, les talibans peu dangereux, et le discours de la population invisible .. et les mecs ne parlent que de cul.