Le troisième et dernier Vinni est le plus étoffé en temps et en matière: l'âne, triste et gris, donne le ton de ce petit traité de philosophie basique où Vinni lui répond par sa seule présence insouciante et immédiate.
Une queue est l'objet convoité et recherché. Vinni frappe à une porte qui s'avère être celle de sa propre maison.
Une chouette s'invite à l'anniversaire qui redevient ce moment où celui qui est né fête la joie qu'il a d'être au monde indépendammant de la pertinence des cadeaux, variable selon ce qu'on en fait, très variable et ce, même si en chemin une bonne partie de ces cadeaux a disparu... gloutonnerie ou insouciance obligent...