Le roi Magnifico exauce sporadiquement le vœu d’un de ses sujets.
Même si je comprends que truffer l’œuvre d’auto-références plus ou moins sagaces, c’est pour commémorer son siècle d’existence, mais les célèbres studios feraient mieux d’étoffer leur scénario. Le récit ne sait quoi faire à l’instar du lieu de l’action qu’il situe timidement en Méditerranée sans aucun renseignement supplémentaire qui ne risquerait pas d’ulcérer qui que ce soit. Heureusement qu’il y a le caprin à la voix de crooneur qui amène de l’éclat pour sauver un peu du naufrage complet. Néanmoins, le wokisme de Disney est assez feutré pour une fois hormis la couleur de l’héroïne (ce qui n’est pas un inconvénient, évidemment) et on peut voir comment un gouvernant affable bascule dans le despotisme.