Bon Hugh Jackman, ça suffit maintenant.
Alors ça faisait un moment que je n'étais pas partie avant la fin d'un film, les compteurs sont donc remis à zéro avec ce nouveau volet dipsensable de Wolverine... Je critique sans avoir vu la fin, pour info.
Tout ce qu'il me vient à l'esprit c'est "pitié, stoooooop".
Il va falloir s'arrêter à moment donné hein.
Dans le précédent film, Hugh hurlait à la mort dans presque tous les plans. Ici on nous épargne les cris de souffrance ultime pour de l'ennui pur. Ca traîne, il ne se passe pas grand chose (ou toujours la même chose sans variantes : les méchants se font bastonner et c'est à peu près tout), on ose entre autre nous balancer le réchauffé et pathétique "ohlala, on va devoir partager la même chambre d'hotel parce qu'ils n'ont plus deux chambres côte-à-côté" *regards gênés*, les personnages sont fades et sans intérêts, etc.
Ce qu'il faudrait arrêter aussi, c'est de nous balancer en raffale le Japon-cliché vu par Hollywood. En ce moment on en bouffe pas mal et c'est horripilant : la meuf mi soumise-mi badass commence à me sortir par les yeux.
Au bout d'une heure et quelque, je me suis dit qu'il faisait beau dehors et que c'était dommage de ne pas profiter du soleil. Si ça se trouve j'ai loupé un truc de ouf. Un truc qui rend cette bouse incroyablement géniale. Haha. Ouais, ça doit être ça. Hum.
Alors Hugh Jackman, je t'adore mais s'il te plaît, apprends à dire "non je ne tournerai pas cette merde".