Once upon a time in Hollywood
Pas top ce film. Quelques bonnes idées narratives ici et là mais surtout de grosses ficelles, des personnages peu creusés et des situations développées de manière décevante. De plus le contexte...
Par
le 15 sept. 2018
5
Début août 1969, à Los Angeles, durant ce qu’on appelle le Summer of Love, des faits horribles vont se passer et vont marquer les mémoires, révélant ainsi, nous dit-on, le côté obscur (je suis ton père) du California dreamin’ (dédicace aux papas et aux mamans).
All the leaves are brown
And the sky is gray,
I’ve been for a walk
On a winter ‘s day...
Après ce petit intermède musical, revenons à nos moutons. Enfin... à nos loups. Dans ce film, les loups ne sont pas des animaux poilus qui hurlent dans la nuit, effrayant ainsi les habitants du coin. Après une première scène plutôt réussie, bien tendue comme il faut, on va faire la connaissance de quatre amis, deux hommes et deux femmes qui vont passer la nuit la plus terrifiante de leur vie.
Quand j’ai vu les inscriptions sur les portes à la fin de la première scène, la plus réussie selon moi, j’ai tout de suite su de quelle affaire il s’agissait, m’étant très intéressé à elle quand j’étais plus jeune. Les prénoms des quatre amis, qu’ils n’ont pas changé pour le film, sont également un indice flagrant. Du coup, la révélation de la fin n’était pas du tout une surprise.
Le film est tout de même assez moyen. La première scène m’a vraiment impressionné, j’étais à fond dedans, j’ai eu peur pour ce couple, qui me semblait sympathique, face à la menace qui est entrée dans leur maison. Quand le policier arrive, découvre le bordel au rez-de-chaussée, et monte lentement à l’étage, la tension est à son maximum. J’étais quasiment en apnée !
Par la suite, ça se délite petit à petit et ça m’a un peu sorti du film. Ce n’est pas un film très violent, pas grand-chose n’est montré ; les couleurs sont assez belles, surtout pour les plans à l’extérieur de la maison. Si vous avez envie de regarder ce film et que vous ne connaissez pas la tragique histoire qu’il raconte, vous prendrez sans doute plus de plaisir à le voir (vous serez, à tout le moins, plus surpris par la fin).
Créée
le 6 mai 2017
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