Crise sanitaire oblige, Wonder Woman 1984 n’est pas encore sortie dans les salles françaises. il faut donc se tourner vers HBO Max pour voir le ratage monumental de DC…
Le temps a passé et Diana Prince a pris l’habitude de vivre sa vie, tout en sauvant la veuve et l’orphelin dés qu’elle le peut. mais le monde ignore toujours son existence car elle prend soin de ne pas se montrer sous sa forme amazone. Et lele souffre toujours de la mort de Steve Trevor. Pendant ce temps, un type rête de gloire et va voler un artefact exauçant les souhaits…
Et nous voilà parti pour 2H31 qui paraissent une semaine. Parcequ’il faut dire ce qui est, on attendait ce film comme le messie super héroïque. Dans les faits, c’est un bon gros plantage des familles. Le film (partie 1984) débute sur une scéne surjouée au possible, et montrant d’emblée une représentation des années 80 caricaturale au possible. La suite, c’est une heure 20 d’ennui entre clichés (Kristen Wiig ignorée de ses collègues souhaite être « belle et cool ». On lui enléve ses lunettes !), moments de comédies parfois gênants, et moments de vies toujours ennuyeux. La dernière heure, elle, montre plus d’action et de rythme mais laisse surtout voir un film aux effets visuels pas finis et aux incrustations parfois dégueulasse. Sans compter les plans raccordés à l’arrache qui rendent les scènes incohérentes. Une catastrophe sur de nombreux points donc…
Reste tout de même quelques points sympathiques à noter. Le retour voulu par Diana de Steve Trevor et ce qu’il implique, qui donne en plus, parfois, de jolies séquences. Mais aussi quelques mouvements de caméra et quelques chorégraphies de combats assez classe. Sans oublier les costumes qui ont parfois franchement de la gueule et la partie jeunesse qui fait office d’intro et qui est franchement bien vu (on y retrouve au passage Connie Nielsen et Robin Wright). Pour le reste, oublions ce blockbuster VODisé et cherchons autre chose…