Cannes, seizième film
J'ai compris quelque chose en voyant la réaction d'une partie de la salle face à une scène de ce film (certes, elle est au milieu du film et j'avais déjà des doutes) : je n'aimerai pas vraiment cet humour. J'explique la scène en deux mots : un jeune se fait mordre par un vampire yakuza, on voit qu'il a une perruque puisqu'elle bouge, il l'enlève, et apparaissent de cheveux plus courts et bouclés, là, certaines personnes rient dans la salle. Question : pourquoi ?
Le reste du film se résume à une personne dans un costume de grenouille dans différentes situations, plus ou moins drôles, mais toujours sur le même thème (l'aspect absurde de ce super méchant), qui du coup lasse au bout de la cinquantième fois. Enfin des vampires qui deviennent yakuza par la même occasion.
Je dois donc avouer ne pas avoir bien compris pourquoi il n'y avait pas vraiment de scénario, même si effectivement le début ébauchait quelque chose ; et je n'ai pas vraiment apprécié l'humour non plus, quelques situations prêtaient à sourire mais sans plus.
Je savais qu'aller voir ce film était risque, j'ai perdu.