Initié franc-maçon devoile des secrets mais il lui manque le talent

Pratiquement tous les films Holywoodiens servent de media de mind-control programing pour l'elite satanique qui nous controle. Ces occultistes aiment a nous mettre sous le nez leur méchanceté de facon inequivoque dans certains films qu'ils preparent specialement pour cela, de Wizard of Oz a Matrix, en passant par Alice in Wonderland, Tron ou Dark City.

Zardoz ne fait pas partie du lot, car bien que Boorman soit évidemment l'un initié des sociétés secrètes des elites qui nous manipulent, il semble qu'il ait agit ici comme un scenariste-réalisateur isolé. Il révèle neanmoins dans ce film (en "soft disclosure") des vérités sur la nature de notre réalité qui n'avaient jamais été abordées jusque-là. On se demande d'ailleurs comment , en 1974 , il eut soudain le droit de le faire.

Il venait de faire Deliverance, un film de propagande totale pour nos controleurs satanistes, dont la premisse etait "Nature is evil, rural people are evil. Stay safe in the big cities". Peut-etre que sa docilité et le grand succes commercial qui la recompensa lui permis d'avoir carte blanche pour son prochain projet. En tout cas, il divulgue Internet, l'intelligence artificielle, les "resets", le "peuple élu"(son dieu et sa mission sociétale), la deception du temps et des reincarnations, le Magicien d'Oz mind control programing, et encore bien d'autres "inside jokes" que les "truthers" du "great awakening" perceront à jour seulement 50 ans plus tard.

Mais ce petit franc-maçon artiste n'est pour le moins qu'on puisse dire pas tres doué comme cineaste! Son film est l'un des plus involontairement drôles de l'histoire du cinéma. Un Sean Connery de 50 ans en couche culote rouge, exhibant son corps flasque pendant tout le film et laissant une trainée de poils drus partout sur son passage... faut vraiment mais VRAIMENT n'etre pas doué pour pondre un truc pareil!

Un autre insider du club des satanistes qui nous contrôle, un certain Kubrick, fit aussi dans la "disclosure"dans son film 2001 : A Space Odyssey (bien que plus restrictif sur les vérités divulguées car le projet était sous ordonnance). La différence est que Kubrick a du talent et Boorman n'en a que comme bouffon accidentel, et cela pour le plus grand plaisir des intellos branchés de l'idiocratie actuelle qui apprecient particulierement ce film pour son ridicule de style "so bad it's good". Les pointures intellectuelles du second degré se regroupent encore aujourdhui pour ricanner des tares spectaculaires que présente ce nanar sans avoir idée que les auteurs du film eux aussi se moquent, et tres ouvertement, de l'ignorance et de l'infantilisme de leur audience.

Pour conclure, le film est completement idiot. Mais le plus idiot n'est point celui qu'on croit...