Aussi vide que l'originalité de son titre

Alan Wake:
Point +:
tout ce qui pourrait être déplaçable par les mouvements l'est. portes inclus

Point -:
    La caméra est placé trop à gauche ou à droite du personnage à certains moments
    tutoriel qui bloque les commandes et qui demande au joueur de répéter la même action
    les cinématiques sont des vidéos moins belles que le jeu
    les joues sont immobiles quand les personnages parlent
    mauvaise lip sync
    animation de début de course
    alan parle trop
    électricité cliché
    visé avec son pistolet focus la lumière de la flashlight ce qui diminue sa batterie
    le jeu s'arrête pour montrer des ennemies qui arrivent
    le jeu change automatiquement d'armes quand on en ramasse une, même si l'arme ramassée est déjà dans l'inventaire
    'Previously' alors que le jeu enchaine automatiquement les épisodes
    tous les personnages parlent trop
    l'endurance d'alan est trop faible
    les ennemies ne représentent pas de véritable danger seul
    les flares du jeu brulent quelques secondes (vrai flares: 15 minutes)
    les ennemies n'attaquent que alan
    le jeu se base sur des vagues d'ennemies
    les piéges ont une forte lumière
    le jeu donne trop de ressources
    les lampadaires ont leur propre générateur
    il y a trop de pages de manuscrit et elles ne sont pas assez cachées
    la batterie de la lampe et la vie se remplissent tout seul
    le joueur n'est jamais en position de faiblesse, il a toujours de quoi se défendre
    quand un personnage d'origine vivante parle comme un robot alan ne se pose pas de question
    les agents du FBI ne savent pas viser
    le boost de lumière est trop exploité
    surexploitation de la slow mo
    dans l'épisode 3 des flash bang sont utilisées pour tuer les ennemies alors que notre lampe torche ne leur fait aucun dégat, elle ne sert qu'à briser leur défense
    je regrette le moment où le jeu me donne une arme à cause de l'ennui de gameplay que cela implique
    les personnages réalisent des éléments de l'histoire que le joueur connait depuis le début
    certains éléments du décor sont des ennemies
    les grenades se sélectionnent comme les autres armes
    les environnement sont trop souvent les mêmes
    quand alan 'kick' une planche il la désintègre
    l'animation de monté d'échelle
    la caméra se centre à gauche d'alan alors que le personnage qu'il accompagne est à sa droite
    certaines portes sont des ennemies
    le gameplay du jeu reste le même du tutorial jusqu'à la fin
    check point pré cinématique
    "Be careful" à l'épisode 4
    la ferme de l'épisode 4
    le personnage Barry
    cliché de la moissonneuse batteuse trop évident
    Alan n'est jamais le chassé de l'histoire
    une lumière clignotante
    les portes lourdes qui souvrent aussi facilement qu'une porte classique mais qui requierent un pnj
    Alan est le centre du monde, les autres pnj sont des poids complètement dépendant
    à la fin de l'épisode 4 les personnages se téléportent sans animation
    les surnoms que nous donne l'agent nightingale
    Alan et la policière se font embusquer à coté d'une porte fermé dont il ont la clé et qui prend moins d'une seconde à ouvrir. x2
    l'écriture mêle conversation casuelle et environnement apocalyptique
    la lampe frontale de garry n'émet pas de lumière
    barry est inutile l'hors des vagues d'ennemies de l'hélicoptère
    l'hélicoptère met quelques minutes à démarrer
    alan survit à une chute de plusieurs dizaines de mètres dans de l'eau et à une chute d'hélicoptère
    le jeu enlève les armes d'alan avant de les lui redonner juste après
    le bestiaire est un cliché
    les bonbonnes de gaz émettent juste de la lumière quand elles explosent
    tout le jeu de base sur des vagues d'ennemies
    les zombies lancent des punchlines
    Alan peut voler toutes les voitures qui ne sont pas détruites
    le passage sur le pont de l'épisode 6 pourrait être évité si alan marchait sur le passage piéton
    Le jeu est un cliché du début jusqu'à la fin
    le combat contre une voiture possédé dans l'épisode 6
    les piafs
    le jeu s'arrête pour nous montrer des piafs alors qu'il y en a déjà des centaines qui volent au dessus de nous
    je suis mort durant une cinématique sans entrer d'inputs
    le jeu annonce des jump scare
    'it has no heart' ... 'you must fill its heart with light' m'kay
    les poltergeist sont des noms à la fin de l'épisode 6
    le boss de fin est d'un facilité déconcertante
Conclusion:
    Le site du jeu catégorise Alan Wake de jeu d'action et un thriller psychologique. Sur steam les tags horreur et atmosphère sont liés au jeu.
    En effet, ce jeu rentre parfaitement dans le genre de l'action étant donné le nombre ahurissant de zombies que l'on tue duant la progression.
    Zombie? Une caractéristique que le jeu n'arbore pas et pourtant l'entièreté des ennemies que l'on rencontre forment le bestiaire cliché de n'importe quel jeu de zombies.
    Un jeu de zombie n'est pas forcément mauvais pourtant. Non? En plus celui-ci est manifestement doté d'une histoire.
    Alan Wake se targue d'avoir une histoire et son site nous affichent les nombreuses critiques ventant l'histoire du jeu. Cette histoire est cependant raconté en deux épisodes.
    Le premier qui forme l'exposition, un passage quasi obligatoire, et le quatrième à la toute fin, qui révèle enfin les tenants et aboutissants de l'histoire. 
    Le reste du jeu est composé au trois de phases de combats contre les zombies dans lesquelles le jeu nous donne 20 chargeurs pour trois ennemies.
    Le joueur ne risque pas de manquer de ressources au moins car, en mode normal, on ne se retrouve jamais avec moins de quelques chargeurs de munitions et le jeu nous donne plus de batterie que nécessaire afin de briser les défenses des ennemies.
    Ces phases de combats sont d'ailleurs très intéressantes étant donné qu'elle se compose exclusivement de vagues d'ennemies qui deviennent tellement rébarbatives que la difficulté réelle du jeu vient des moments ou on les évite afin d'être épargné.
    Les combats sont mous, le gameplay reste le même du début à la fin avec pour seul originalité les quelques armes que l'ont nous accorde.
    Ces ainsi que Alan Wake perd imméditement sa caractéristique de jeu d'horreur et qu'il arbore fièrement celle de jeu d'action.
    Pour ce qui est de l'atmosphère elle est quelconque, un simple forêt la nuit. Du vue et revue qui approche le cliché, elle n'impressionnera que les joueurs n'ayant jamais approché le genre de l'horreur.
    La narration du jeu est ce qu'il y avait de plus classique l'hors de sa sortie. Un jeu linéaire au possible qui pousse le joueur à travers les phases inombrables durant lesquelles le joueur fera office de chasseur au lieu de chassé.
    Certains pourront mentionné la voix off d'Alan qui nous raconte ses pensés sur les évènements. Alan et ses amis pnj qui n'arrêtent jamais de parler pour nous débaler leur banalités ou pire, traiter de problème quotidien dans cet environnement presque apocalyptique. Des dialogues insuportables qui sont agréables seulement quand on les fuit. Néanmoins ils sont cohérents avec le reste de la narration.
    Celle ci se compose de zombie nous offrant de multiples punchlines à leur apparition, un indispensable du jeu d'horreur et d'ambiance.
    Heureusement que le jeu nous propose de pousser la cohérence d'univers plus loin en nous proposant une longue phase de combat en vague sur une scène de concert dans laquelle notre fabuleux 'meilleur' 'ami' utilise des feux d'artifices et effets de lumière afin d'affaiblir les ennemies. Se merveilleux moment vidéo ludique type dead rising, jeu présentant de nombreuse similarités avec Alan Wake,se lie à autre moment de cohérence quand Alan se bat contre une voiture possédé en mode Destruction Derby.
    La fin réussira au moins à ne rien résoudre car au lieu d'avoir sa femme bloquée Alan s'est sacrifié pour la libérer. Espérons qu'elle l'abandonne au lieu de nous procurer une suite.
    On nous propose donc un personnage inintéressant et agaçant dans un univers dont la cohérence n'arrivera qu'à lié votre main à votre front.
    J'ai lu dans une critique que se jeu réussissait bien son pari contrairement à Heavy Rain qui était, d'après ce que j'ai lu, plein de QTE. Un point de vue intéressant étant donné qu'il comporte quelques QTE stupide mais surtout que son gameplay est basé sur des cliché vidéo ludique qui ne sont plus, depuis longtemps utilisé dans le story telling du fait de leur inefficacité et de leur vide vidéo ludique.