Un scénar' de bonne grosse actionade médiévale rapporté au niveau d'un individu secret et discret, une possible subtilité dans la manière d'agir tout en étant pris dans une spirale de missions toutes plus répétitives les unes que les autres ... Assassin's Creed premier du nom est un véritable équilibriste : c'est toujours sur la corde raide qu'il arrive à faire passer ses pires défauts (héros moderne moins qu'inintéressant, linéarité, environnements finalement restreints et plutôt vides) en les enrobants de trouvailles (exploration génétique, défis du perfectionnement, direction artistique éminemment réussie) dont l'avenir a pu un temps permettre une meilleure exploitation, avec Assassin's Creed II.