Un modèle à suivre

Après un Assassin Creed 2 qui avait répondu à la critique en gomment les défauts et enrichissant les idées de sont prédécesseur, on ne pouvait en attendre moins de celui-ci. Plus riche, plus long, plus varier, plus beau, ce nouvelle opus parvient à aller encore plus loin dans l'excellence. Sans doute ne suis-je pas objectif, mais l'on ne peut contester les qualités intrinsèque de ce titre que j'aborde ci-dessous :

Dans ce dernier, point de ville différente ou crapahuté puisque seul la Rome de la renaissance nous est offerte. Une seul ville ? n'est-ce pas un peu léger ? non, dans la mesure ou celle-ci est immense, bien plus grande que n'importe quel des villes qu'on pu avoir les précédents opus. Il faudra plusieurs heures pour découvrir les différents lieux quel renferme, d'autant plus qu'une grande partie n'est pas disponible dés le début de l'aventure, puisqu'il faudra avancer dans l'histoire pour espéré débloqué toute les sections de la ville, à l'image d'un "GTA". L'attrait à avancer, peut-être donné par le soin apporté à la reconstitution des lieux; que se soit dans les divers monuments ou maisons avoisinantes allant jusqu'aux badauds qui la peuple, tout y est traité avec le plus grand soin, conférant à l'ensemble une bonne crédibilité et un goût dans voir toujours plus.
Ce travail est récompensé par un moteur graphique, qui, loin d'être une vitrine technologique, assure un visuelle très satisfaisant - textures fine, modélisation très correcte, gestion du cycle jour/nuit -, seul pourrait-on regrettés les effets météo comme la pluie ou le brouillard absent du mode exploration. La populace réagit à nos agissement, fuient lorsqu'un cadavre tombe a leur pieds, commente nos cabrioles, s'insurge de nos incartades. Toujours réactive, elle apporte un souffle de vie non négligeable à l'ensemble.
Tenant compte de tout ces éléments, ont ne peut qu'être admiratif face au travail accomplie devant les limites "hardware" des consoles actuelles.

Ce terrain immense, on le parcourras avec un personnage du nom Ezio. Déjà présent dans l'épisode précédant, il revient avec quelque possibilités supplémentaire, que se soit en terme de combats ou d'acrobaties, venant renforcer le sentiment de liberté. C'est supplément peuvent amené à se demandé si le public visé n'est pas plus restreint; à cette question, il n'en est rien. C'est bien là que se situe une des grande force du titre. A l'instar d'un "PoP" qui demande une bonne maitrise de jeux pour surmonter certains obstacles. Assassin quand à lui s'ouvre au grand public en simplifiant les commandes, rendant chaque défis accessible à tous. Ainsi aucune difficulté ne vient entraver le plaisir du joueur, seul quelques secondes suffise à comprendre de quoi il en retourne.
Accessible, les chevaux que l'on chevaucheras le sont aussi, plus maniable qu'auparavant il nous permettront de partir à toute bride tout en écartant les rustres qui demeurerons sur notre chemin; en les tranchants ou prenant possession de leur canassons une fois désarçonner.
Si l'on peut se réjouir de cette accessibilité, l'on est moins enthousiaste face à l'IA qui manque d'agressivité, enlevant tout chalenge aux rixes. Loin d'être ennuyeuse, la "chorégraphie" qui en ressort fait plaisir au yeux. Animations fluides, voir gracieuse, renvoie au films de cape et d'épée d'antan, d'avantage tourné vers la grâce des combattants que vers la violence qui en découle. Bien-sûr il faut-être client.

Un autre gros point positif à mon égare est le coté didactiques qui permet d'élargir à qui le souhaite ses connaissances sur les lieux, personnages (prostituer, crieur...) et acteurs historique qu'il rencontre en appuyant sur une simple touche. Les explications - concises - sont intéressantes et peuvent amenée toute personne à s'intéressé à l'histoire de cette période. Pouvant créer du même coup des vocations. En outre l'élargissement du public viser, ne s'adressant plus au simple joueur mais aussi aux amoureux de l'histoire; peut exploiter des titres dit "gamers" mérite d'être saluer. Espérant que d'autres prennent la même voix - apprendre en s'amusant il n'y à rien de mieux comme chacun le sait -, rendant par la même caduc les propos vilipendent le média sur son coté "abrutissant".

Je passerais sur la narration, l'histoire et la musique, qui font leur office mais ne resterons pas dans les mémoires. Avec une durée de vie plus que satisfaisante et des myriade de missions assez variées dans l'ensemble, on ne peut qu'attendre les futur suites avec impatience. Je vous le recommande, doubler de ses prédécesseurs.

Bonne sessions !