Second jeu de la franchise terminé (après le deuxième), Origins n'a pas une histoire principale d'une originalité folle (une vengeance qui s'étend, qui met à jour une organisation dont les membres, souvent des personnages historiques, sont comme l'Hydre de Lerne : on coupe une tête et trois autres apparaissent) mais qui propose assez de profondeur pour avoir envie de poursuivre l'aventure.
Sans parler des problèmes de répétitivité qui fait le sel de la franchise, il y a un plaisir certain à parcourir l’Égypte antique et voir une majeure partie des monuments (pyramides et sphynx), visiter la bibliothèque d'Alexandrie (partie en fumée), parcourir les déserts brûlants au rythme de son chameau
(ou chocobo)
fait que le voyage en vaut la peine. Le sable qui envahit les villes, s'infiltre partout, ce qui déplairait fortement à Anakin Skywalker.
Concernant la musique, je retiendrai le morceau intitulé "Battle of Krokodilopolis". Et en terme de quête secondaire, l'arc narratif reliant Bayek, son fils et les constellations.