Après un Batman Arkham Asylum à l’ambiance savoureuse, un Arkham City perfectionnant la recette efficacement et un Arkham Origin oubliable et oublié, le Chevalier Noir revient dans son plus beau costum…armure pour une dernière aventure censée conclure la trilogie de Rocksteady (Origin n’était pas d’eux).
Alors le meilleur épisode ? Un pétard mouillé ? Est-ce qu’on peut enfin jouer avec Alfred ? Pourquoi Robin est-il seulement chauve alors que Batman est chauve-souris ? Toutes les réponses à ces questions existentielles se trouvent dans les lignes qui suivent.
Peu après les évènements d’Arkham City, l’Epouvantail menace de libérer un gaz mortel dans tout Gotham. Batman n’a qu’une nuit pour l’arrêter lui et tous les autres criminels en liberté dont un certain « Arkham Knight » qui a l’air d’en savoir beaucoup sur notre Dark Knight.
Si le postulat de base de la ville menacée était intéressant, il est tout de suite désamorcé puisque l’on comprend que c’est juste un prétexte pour vider la ville une nouvelle fois. Du coup, ni veuve ni orphelin à sauver dans Gotham, seulement des criminels à cogner et des grand vilains à arrêter…et des tanks, et des drones…et des hélicoptères… L’Epouvantail a dû gagner à la loterie de Gotham, comment a-t-il pu déployer autant de forces ennemies en moins d’une nuit ?
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