Moe powaaa
Le jeu alterne des passages de vie scolaire (à la persona) et des phases de jeux plutôt répétitives. Le jeu à un peu de charme même si on a fait vite le tour. Le jeu est plutôt mignon pour un portage...
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le 11 oct. 2017
Sorti en France sous la plus grande indifférence, cette production Gust s'affiche comme la plus belle du studio. Ce dernier n'ayant jamais fait de grosses prouesses techniques avec sa série Atelier, on peut être surpris dans la beauté visuelle du titre. Le studio a enfin un RPG qui fait un peu plus next-gen même si techniquement ça reste limité: on explore encore des zones réduites et les quêtes annexes se montreront hélas répétitives dans des donjons au level design très pauvres.
On incarne la lycéenne Hinako dont la blessure au genou l'empêche de devenir danseuse étoile, son rêve. Elle reçoit le pouvoir d'une Reflector (traduisez magical girl en langage courant) suite à sa rencontre avec deux soeurs mystiques. Ces dernières lui avouent que la position de leur lycée est le point d'entrée d'une dimension parallèle, le Common, se nourrissant des émotions humaines. Ces dernières sont contenus dans des crystaux qu'il faudra aller chercher dans cet univers onirique pour rendre aux victimes leur état normal.
L'alternance data sim et exploration du Common se fera sans limite de temps, le tout découpé en 12 chapitres. L'ensemble offre des possiblités peu variées et on ne va pas se mentir, le gros défaut de Blue Reflection est qu'il est très facile: jamais vu un RPG aussi facile depuis Rhapsody sur NDS. C'est dommage car son système de combat s'avère intéressant avec la gestion de sa jauge d'either et sa timeline où se déplace les icônes des héroines, inspiré de Grandia. Il faut attendre les affrontements spectaculaires contre des boss colossaux pour pleinement profiter du concept. La nudité et les approches du style yuri pourra aussi faire grincer les dents. Donc si vous voulez offrir un jeu de magical girl à votre petite nièce pour son anniversaire, oubliez celui-là! :/
L'histoire offre un final plutôt touchant et malgré les gros problèmes d'équilibrages, j'ai davantage apprécié cette production Gust que certains de leur Atelier.
Test expresse sur le blog.
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Créée
le 5 nov. 2017
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