Quand j'étais petit, je bullais...
Pardonnez-moi, mon père, car j'ai pêché.
Ma passion pour les jeux vidéo n'est née ni d'un Pong, ni d'un Space Invaders, ni d'un Arkanoïd, ni d'un Pac-Man.
Elle est née d'un Bubble Bobble. Oui, Bubble Bobble, ce jeu magnifique où votre grand frère incarne Bub tandis que vous incarnez Bob, et où la fraternité s'enflamme durant la petite centaine de niveaux, à lancer des bulles sur vos ennemis. Des bulles vertes, des bulles bleues, oh ! Une bulle rose ! Vite, chope-là, ça fait des bonus !
Soudain, la musique s'accélère ! L'aiguille a tourné, un peu trop au goût des concepteurs. Et c'est la panique. L'ennemi invincible débarque, les autres ennemis accélèrent, les vies tombent 3, 2, 1, NON, grand frère ! Aaaaaargh !
Pas de password, pas de sauvegarde, on recommence tout. Et on ne se lasse pas. Vers l'infini, et au-delà.