L’histoire nous place dans la peau d’un chat capable de défoncer des dragons, pouvoir perdu depuis un bout. Donc on nous défie car on est l’élu qui part casser des bouches dans la joie et la bonne humeur que retranscrivent à merveille les graphismes colorés et les musiques toutes mignones.
Cette approche sans prise de tête se retrouve dans la conception du jeu : tout se déroule sur une mappemonde, type jrpg à l’ancienne (ff7, tales of). Pas de villages ou d’arènes avec temps de chargement. Et ça marche plutôt bien. On se déplace, on chope des quêtes/pouvoirs à la volés et on cogne.
Avec de la magie, à acheter et améliorer en magasin, ou avec de l’équipement, modifiant stats et apparance, qu’on trouve dans des coffres un peu partout (les plus intéressant se trouvant dans des donjons osef à la Skyrim). L’amélioration de ce bazar est peu conventionnel mais marche bien : chaque pièce d’équipement à un niveau, niveau qui augmentent lorsqu’on retombe sur cette même pièce.
Bref, l’ambiance, les petites touches d’humour et l’immédiateté du concept m’ont tenu en haleine durant les 5/6h que durent l’aventure. Le seul bémol que j’émettrais concernent les quêtes annexes : c’est du “vas tuer là et là” pur jus, avec un habilage descriptif très minimaliste.
Ça tourne niquel, y a presque pas de temps de chargement -très court au passage- et le jeu se prette très bien aux petites sessions.
Le jeu propose un ng+ aussi, mais je ne l’ai pas tenté.