Quand Crazy Frog n'était pour tout le monde qu'une sonnerie de portable, je n'y voyai pas d'inconvénient. Quand c'est devenu un album et plusieurs clips, ça a attiré mon attention sur la médiocrité de la chose. Puis cette horreur s'est hissé à la première place du Top 50 en France : c'est à ce moment là que j'ai commencé à trouver cela affolant.
Et là, je découvre mon petit frère en train de jouer à Crazy Frog Racer sur PS2. Non sérieusement ? Un jeu vidéo de course dont le pilote principal est une grenouille avec la bite à l'air ? Je lui ai prescrit une cure de Mario Kart sur Nintendo DS, je pense qu'il va vite guérir.
Quant à ce jeu immonde dont il est question, la démarche la plus honnête serait de donner de l'argent au lieu de le vendre.