Je n'arrive pas à accrocher à CK3 et j'ai du mal à comprendre pourquoi.
Le jeu est sur beaucoup de points une amélioration évidente du 2 , meilleur interface , meilleurs graphismes , gameplay plus accesible.
Et pourtant la ou j'ai souvent pu faire des partis qui s'étendait sur 20 génération avec CK2 , je n'ai jamais réussi à passer plus de 5 ou 6 avec CK3.
Tout à un gout plus... fade ? Disparu les nombreux événement qui donner du sel à sa partie , que ce soit l'arrivé de la mort qui vient nous défiez aux échec , notre personnage qui se met en quête d'immortalité ou l'arrivé de l'enfant du diable dans votre dynastie.
Tout manque de compléxité et de saveur. Dans CK2 pour convertir votre pays , vous devait envoyer des ambassadeur au roi voisin , s'en suit une série d'événement complexe ou l'on guide son pays vers une nouvelle foi , en faisant la promotion des missionaires , en usant de charisme , en demandant des fonds à son parrain.
Dans CK3 vous attendez d'avoir assez piété puis vous cliquait sur un bouton et voila.
Dans CK2 partir à la croisade était une aventure : On devait dans un premier temps assemblez les forces de croisade , définir les cibles. Puis une fois parti plein d'événement unique pouvait se déclencher une fois arrivé à la terre sainte.
Dans CK3 il n'y a quasi pas de différence avec une guerre normale.
Dans CK2 , le simple fait de léver une armée était une tache complexe. Les vassaux vous donnaient des hommes si ils vous aimaient bien , maintenir l'armée levé trop longtemps risque de les énerver. Peut être avait vous assez centralisé votre royaume et vous disposez d'une armée permanente qui vous libère de l'influence de vos vassaux. Et même quand l'armée est levé il faut l'assembler , réunir les troupes envoyée de tt le royaume. Les provinces reculer devenait donc dur à défendre car y envoyer des hommes prenait du temps.
Dans CK3 , on appuie sur un bouton , l'armée est indépendante de la volonté des vassaux et ont peut la faire apparaitre ou on veut. Ce qui fait que jouer des grands pays devient incroyablement facile car une armée de 10 000 hommes peut apparaitre en un claquement de doigts de n'importe ou.
CK3 à pris une orientation moins fantaisiste et moins complexe , mais du coup je m'emmerde , je ne suis jamais surpris et j'ai l'impression de faire le tour de tt ce que me propose le jeu assez rapidement.
De plus la politique plus que douteuse de Paradox sur les DLC fait que CK3 à moins de mécaniques que CK2 , certainement pour que ces mécaniques réapparaisent dans de futur DLC à 15 balles. Au moins le jeu à la décences de nous laisser jouer tt le monde sans bloquer 2/3 des personnages derrière un DLC. Ainsi ont peut dire au revoir à :
-la gestion des épidémies
-le conseil
-les routes de la soies
-les gouvernements nomades
-les sectes
-les confréries paiennes
-les mécaniques de l'empire de Chine
-les lignées
-les merveilles (je ne peux plus créer mon palais "Cocobongo" avec tt ses boost de fertilité)
Même si je reconnais que le jeu apporte son lots de nouvelles mécaniques , comme la cour , la salle du trone ou la création , la gestion des secrets , les cultures. J'ai tjr ce désagréable sentiment d'avoir perdu quelque chose.
Au final je ne retrouve pas ce qui fait le sel de CK2 , ces partis mémorable même si elles ont 7 ans. Ces dizaines d'heure passez avec mes amis , à toujours être surpris des situation invraisemblable qui nous arrivaient. Qui peut se mettre à la table de CK2 et dire : "Oui dans mon jeu tu peux corrompre le pape pour sanctifier Nicolas Sarkozy" ?
Pas CK3 et tant que ce sera le cas je ne le relancerais pas.