Autant vous le dire directement, ici on ne parlera pas de lancement catastrophique du jeu car c'est pas le propos de ma critique.
pour commencer, je dirais que le jeu à plusieures grandes forces.
On peut commencer par l'univers qui certe n'est pas des plus original dans le genre cyberpunk mais qui arrive parfaitement à mélanger les différentes influences du genre pour nous en faire une parfaite synthèse avec son ultra-capitalisme qui ferait passer notre monde pour un paradis communiste, son ultra-sexualisation des moeurs et de la libéralisation totale des implants cybernétique qui fascinent et révulsent à la fois. On a aussi une très grandes diversité des ennemis que ce soit les corpos ou les gang de Night-City, ce qui est assez rare de nos jours avec d'autres jeux qui nous offrent peu de divirsité d'ennemis à affronter "JE PENSE A TOI UBISOFTE"
Pour le gameplay, il fait le café même si on peut noter une maniabilité des véhicules à chier et une trop forte tendance à devoir looter toute les zone. Les combats sont par contre très bien rythmés et j'ai ressenti un véritable fun dans les améliorations débloquable au cours du jeux, peu importe si vous jouez en mode combat, discretion ou netrunner.
Bon, maintenant parlons du meilleur de ce jeux, ses personnages. Chaque personnage nous offre une histoire intéressante qui marque et qui leur donne une véritable personnalité qui fait que une fois le jeux finit, on en a oublié aucun. Tout cela les rends extrêment attachant et chacunes des romances sont satisfaisantes. Je donne aussi une mention spécial à Judy et Takemura, l'une qui à une vraie personnalité brisée auquelle on cherche à la rendre heureuse et non pas juste le personnage baisable n°943685 (JE TE VOIS AC : VALHALA) et l'autre, Takemura dont on développe une vraie attache via son sens de la loyauté qui force l'admiration.
Pour vous dire, même les personnages tertiaires comme Mitch ou Clair apportent un plus à l'histoire. Bien entendu, il faut parler de Johnny Silverhand dont au premier abord, il semble être un gros con mais dont cette personnalité cache quelqu'un de plus profond qu'il n'y parait. Et que dire de l'amitié qu'on développe avec lui au cours du jeux, ça commence par la haine mutuelle > de la la cohabitation de circonstance > jusqu'à la complicité. J'avoue que ça m'a fait chaud au coeur quand celui-ci s'inquiète pour vous lors de vous crises (si vous avez cherché à être pote avec lui).
Pour le scénario, on sent que le jeux ne cherhce pas à inutillement rallonger la durée de vie et va donc à l'éssentiel sans utiliser des aller-retours constant.
Pour les fins, chacunes marquent à leurs manière propre. Que ce soit la fin avec les Aldecaldos où l'on est mélancolique car cela ne durera pas mais franchement, mourir auprès de vos potes, votre copine et votre nouvelle famille, y a pire car au moins on peut se dire que V mourrira heureuse.
La fin Afterlife est marquante par le fait que vous devennez une légende de Night-City mais au prix de la solitude. L'on se pose alors la question, une fois le jeux finit (Cela en vallait-il vraiment la peine ?).
Et enfin la fin Arasaka qui vous donne la haine, non-pas envers le jeux ou un personnage précis mais envers vous même car tout du long, on a cette horrible impression d'avoir trahi nos propres principes.
Au final, j'ai beaucoup aimé ce jeux et m'a fait ressentir des émotions dont seulement une poigné on réussit jusque là. Franchement, ne vous limitez pas juste aux bugs car l'histoire et le gameplays en vallent vraiment la peine.