Le rêve de piloter un mécha est apparu plusieurs fois dans la création vidéoludique. Dans les jeux gundams premièrement, qui sont les méchas qui ont donnés cette envie initialement avec les séries dessins animés éponymes. Mais aussi avec des titres comme Zone of the Enders, Front Mission et plus anciennement et obscurément, Ghost in the Shell sur PS1.
C'est la comparaison avec ce dernier qui m'a poussé à écrire ce texte. J'avais beaucoup aimé à l'époque des CD démos de PS1 pouvoir piloter la coccinelle du marionnettiste. Elle roule comme sur des roulettes, la multidirection assuré par des fusées sur les dalles polygonées du béton est très agréable et réactive. On pouvait déplacer la coccinelle dans tous les angles même les murs et les toits, celle-ci glisse dessus. Sur cette carte représentant des Hangars en béton il faut détruire une organisation terroriste: ses méchas et ses hommes de main.
Au lieu d'incarner le vrai marionnettiste qui est l'ennemi dans l'animé on incarne le S.E.E.L. qui est l'organisation chargé de contrer les terroristes.
Pourquoi parlais-je de la sensation de glisse de la coccinelle dans le jeu GITS sur PS1.
Parce que cette sensation de glisse est également présente dans le jeu Daemon X Machina lorsque le mécha que l'on pilote est posé sur le sol car il se déplace également sur des roulettes et grâce à des fusées multidirectionnelles. Quand il s'envole la sensation est moins présente car on est dans les airs. Cependant les bruits mécaniques et de tirs ne sont pas très bons.
Les bâtiments sont dans les deux titres des bâtiments en béton urbains. Vous allez entrer dans des énormes structures de métal dans lesquels vous affronterez ces mêmes terroristes. Mais là où le robot de DxM peut voler, celui de GITS peut rouler sur les parois.
https://www.youtube.com/watch?v=9QiaB8eVXaE&t=448s
Pour en savoir plus sur l'organisation à affronter GITS nous propose des ordres de mission au début de les commencer quand DxM nous montre des scènes de dialogues, que ce soit entre les alliés ou entre les alliés et les ennemies. C'est dialogues permettent de voir la tête des protagonistes mais ce qui nous intéresse c'est les méchas, et là où GITS se tait pour qu'on puisse juste détruire les ennemies d'en face, dans DxM on peut avoir de l'empathie pour ceux de ces derniers.
Les missions sont plus variées dans DxM que dans GITS, les boss peuvent être impressionnants mais jamais très menaçants, les missions s'alternent en objectifs : escorter un véhicule, éliminer des drones, infiltrer une base, combattre des méchas rivaux. Malgré cette variété, une répétition des différentes séquences de jeux peut ennuyer et vous ne pouvez pas vous coller aux parois comme le fait la coccinelle mécanique de GITS.
Reste le plaisir de customiser son mécha avec une grande variété de possibilité quand à l'armement, l'apparence et différentes options de système.
Ce titre mérite un Coccinelle araignée > Mecha dans l'espace