L'Histoire ne raconte pas comment c'est arrivé et cela met du suspend qui, durant les missions, se transforme en courage d'intimité avec la mort. J'ai adoré !
Pourquoi défendre, tel le philosophe épicurien que je suis, le devoir de penser à la mort ?
Parce que le bien triomphera toujours ?
Non... c'est d'ailleurs très faux.
Parce que rêver fait être bon ?
Parfait ! Parfait... comme ce jeu !
Le gameplay, de design, le scénario et le souffle de l'irrationnalité guerrière... tout est parfait dans ce jeu !
Dishonored... jamais !
Un jamais que les femmes de toujours ont su réconcilier en « Plus jamais ».