Dishonored par Jean Courjault-Radé
Comment dire ? La première fois que j'ai terminé Dishonored, la déception était immense. Pourtant, je l'attendais grandement. Puis au bout de quelques mois, le jeu m'est revenu en tête, et j'ai décidé de le refaire une deuxième fois sans tuer personne et sans se faire repérer. C'est à partir de ce moment que j'ai découvert le véritable potentiel de ce jeu. Toutes les façons alternatives de faire une mission. Il est bien là le but: laisser le joueur libre de ses choix. Foncer dans le tas, ou prendre le contrôle d'un rat (en évitant de se faire marcher dessus) pour rentrer dans un bâtiment pour trouver notre cible, toutes les possibilités sont là. On peut parler de la durée de vie minime, mais si on augmente la difficulté et que l'on s'impose de faire le jeu seulement avec le clignement, sans tuer personne et sans se faire repérer, la durée de vie devient gargantuesque. Et c'est là que le jeu offre toute sa puissance (surtout si on le fait comme ça dès la première session).
Cette sensation, je l'ai trouvé en faisant les dlc avec les contraintes citées plus haut. Un pur régal.
Bon jeu, qui a été trop rapidement oublié.
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