Dishonored, c'est :
- une direction artistique très réussie ! Merci Viktor Antonov !
- une grande liberté d'action offerte aux niveaux des game et level design (les pouvoirs, l'équipement, les niveaux très vastes et verticaux, choix d'accomplir ou non les objectifs facultatifs, etc.)
- une histoire assez sympathique (et un thème général de lutte pour le pouvoir intéressant) ;
- une durée de vie adéquate de +/- 15h (sans terminer le jeu à 100%, ce n'est ni trop long, ni trop court)
En termes de choix, je pense avoir utilisé à 90 % la méthode douce et la discrétion. Vers la fin, j'ai décidé de durcir le ton, pour des raisons personnelles liées au scénario. Et franchement, les deux types d'approches ont été jubilatoires.
Mon conseil pour profiter au mieux du jeu et de son level design très réussi :
- supprimer toute aide d'interface (et notamment les curseurs identifiant les objectifs, c'est le diable!)
- ne développer que quelques pouvoirs, par exemple non martiaux (sous peine de devenir le Terminator, insensible à la pression du jeu "du chat et de la souris" qui fait pourtant tout le sel du jeu).
Pour un jeu de 2012, Dishonored est encore magnifique et surprenant !