- Dans un futur dystopique, l'Union Aerospace Corporation a ouvert une porte dimensionnelle entre Mars et les Enfers. Vous seul pouvez arrêter les démons venu d'ailleurs.
Une chose importante a préciser avant d'écrire quoique ce soit. Je n'ai jamais joué à Doom premier du nom. Ni aucun autre d'ailleurs. J'ai acheté ce jeu day one, parce-que... Bah Doom quoi !!!
Mais je n'y ai joué que quelques jours après la sortie de Doom Eternals. Je vous laisse imaginer la tonne de poussière sur le boitier.
Pas mal de choses m'ont marqués assez rapidement.
Déjà, si t'es épileptique tu meurs avant de passer la première heure de jeu. Ca va vite, très vite, avec des couleurs flashy, très flashy. Y'a du sang, beaucoup de sang et des grosses guitares électrique, très grosses guitares électrique !
Ca explose, ça valdingue, à chaque nouvelle créature la même réflexion : "Je vide combien de chargeur pour le buter lui ?" Et le bestiaire, quoique pas si immense que ça, ne trounera pas trop en rond.
Des "Glory Kills" pour regagner de la vie, car elle va partir vite, très vite. Et je ne joue que sur le troisième niveau de difficulté (sur cinq...).
Le scénario ? Pour quoi faire ? T'es sur Mars, tu dois tuer des ennemis avant de mourir, et comme au passage t'as l'air d'avoir un peu de temps à tuer, bah tu vas fermer le portail avant que ça soit trop la merde. On se prend très vite au jeu sans aucun regret.
Avec une durée de vie assez énorme pour un FPS (environ 14h là où un Call of Duty ou un Halo se finit en 6h montre en main).
C'est violent, c'est nerveux, c'est jouissif. Doom tire dans le tas et fait un sans faute pour revenir très fort sur le devant de la scène du jeu vidéo.
Encore une fois je n'ai jamais joué à l'original mais clairement, Doom est dantesque et je vois difficilement comment faire plus bourrin, nerveux (encore) et Heavy sur un jeu de ce type.
Et comme disait un grand homme :
"Tout ce que je vais vous demander, c'est de réunir tout ce qui vous reste de bière et de testostérone parce-que aujourd'hui, c'est Doom.
-Doom ?
-Doom.
-Now let me here you say heho."