Les FPS, en général et à cause de la réputation désastreuse des joueurs en ligne de COD, ça m’a jamais véritablement attiré, sans dire que ça m'ennuie car j'ai des souvenirs très sympa de petits tournois sur Counter Strike sur les PC de la maison de quartier que j'ai longtemps fréquenté ado durant les années 2000.
Mais avec les années, plusieurs titres ont malgré tout attiré mon attention de par leurs univers : Resistance : Fall of man ( PS3, 2006 ), Bioshock ( Version XBOX ONE, 2016 ), le mal-aimé Brink ( XBOX 360, 2011 ) et puis le jeu auquel je dédie ce texte : Doom.
Reboot du tout premier jeu sortie en 1993, ce jeu à une histoire tout con : on est un soldat à moitié armoire bretonne et on dégomme ces connards de démons qui se sont invité sur mars à cause d'un portail des enfers.
Le scénario de ce reboot ne nous invite pas à nous trituré le cerveau, par contre, il nous invite, avec tout un arsenal, à répandre les affreux cornus en dégueulassant les murs de leurs corps et pour cela, les armes vont du petit flingue au fusil d'assaut et fusil tout simple en passant par un truc faisant office de lance-missiles et une bonne grosse tronçonneuse pour dire que ne déconne pas.
Techniquement, le jeu est très bien foutu, les environnements digne d'un Star Wars sont détaillé et plutôt varié, même si cela contient des complexes en général, ça gène pas et les démons que l'on croisent sont bien fait et on vraiment pas une gueule de porte-bonheur.
Niveau gameplay, le but est d'avancer et de mettre des grosses mornifles de mec de plus de 100 kilos avec nos pétoires et il va falloir être solides car certains spécimens sont du coriace alors cela exige de parfois esquiver, voir leurs paternes, les points faibles des emmerdeurs, essayer de les mettre KO et si on finit par y passer, on y retourne jusqu'à réussir à faire la scène d’exécution, d'ailleurs les scènes d’exécution ne font jamais dans la dentelles : ça pète des cranes, fracture des bras pour les empaler dans les gueules, ça tronçonne, le PEGI 18 est parfaitement placé.
La musique du gratteux Mick Gordon et son metal industriel rythme de ouf parfaitement les combats, il est clair qu'avec une musique comme sur les God of War, l'effet aurait été moins adapté à la situation.
Bien qu'il regorge d'une ribambelle de qualités, le jeu est pas mal répétitif, en même temps, il faut s'y attendre mais ajouté des activités annexes aurait par exemple été intéressant à avoir ou bien des énigmes toute simple.
Doom est un retour qui dégouline tellement de sueur mélangé avec du sang et des tripes que vous allez devoir reprendre une étagère chez BUT ou Castorama, ce FPS, avec son côté bourrinage simple de démons dans un univers futuriste et son rythme, le cerveau n'aura pas besoin de surchauffer pour l'aprem' ou la soirée et je pense que l'on peut dire la même chose de sa suite, le dénommée Doom Eternal.