Difficile d'assurer la relève après un premier Doom fabuleux, dévoilant à la face du monde le genre FPS. Donc on prend les mêmes et on recommence, et c'est parti !
On pourrait résumer Doom 2 à un bête clone de Doom, et ce serait vrai. L’histoire, puisqu’il y en a une, la voici: la Terre est à nouveau envahie par les forces venues de l’enfer, et vous allez devoir à nouveau sortir les armes pour éclater du monstre en tout genre.
Doom 2, c’est pareil mais c’est différent
La raison est simple. Si Doom 1 était révolutionnaire, on en attendait pas moins du second volet. John Carmack a bien compris la recette du succès. On prend les mêmes et on recommence, mais en mieux, accessoirement. Ce qui faisait la force de Doom est resté, à savoir l’intensité de jeu, le gameplay basique, le fun, la boucherie et les giclées à outrance.
Donc dans Doom 2, on fait la même chose, avec de nouveaux ennemis, des maps plus grandes, c’est pareil, mais c’est mieux. Eeeh oui, à l’époque, c’était pas bien compliqué de faire un jeu, l’attente n’était pas la même qu’aujourd’hui. Les gamers ne demandaient qu’à s’amuser.
Doom 2, c'est donc Doom mais en plus mieux. Plus complet, plus long, plus vicieux, tout est accentué. Une légende, une deuxième.