"La propagande cesse d'être efficace à l'instant où sa présence devient invisible."

Nouvelle production française développée par le studio « Un je ne sais quoi » et édité par Focus Entertainment, Dordogne (2023) m’avait tapé dans l’œil dès l’annonce de sa sortie. Ce qui me plaisait à ce moment-là, c’étaient bien évidemment les visuels originaux rappelant la peinture à l’aquarelle et son titre mettant à l’honneur l’un des plus beaux départements de France. Sur ces deux aspects, et après avoir terminé le titre en 5 heures environ, Dordogne ne déçoit pas. Il s’agit même de ses deux points forts. Les visuels animés sont sublimes, j’ai pris un grand plaisir à découvrir chaque lieu, chaque plan, chaque panorama qu’offre le titre. Les développeurs ont fait un travail impressionnant pour parvenir à donner vie à ces peintures haut en couleur. Et côté patrimoine, outre les paysages, le folklore de la région est abordé rapidement via une légende locale et une petite visite au village de Sarlat nous donne à découvrir la Dordogne. Cela ne va malheureusement pas plus loin, mais les contraintes scénaristiques, j’imagine, les ont empêchées d’aller plus loin dans cet aspect « tourisme ». La maniabilité n’a rien de spécifique, nous sommes dans un jeu à cheval entre le « point & click » et le « walking simulator ». La plupart du gameplay se concentre dans des sortes de mini-jeux où vous devez préparer, fabriquer, réparer, nettoyer, peindre des objets, des aliments, etc. Le jeu n’est vraiment pas difficile et est tout à fait adapté pour les enfants. Des petits collectables à droite et à gauche pourront être dénichés afin de remplir une sorte de cahier de vacances rassemblant les souvenirs de l’héroïne : des autocollants et des mots. Vous pourrez ajouter dans ce cahier des photos que le joueur prendra le soin de prendre lui-même lors de certaines phases et à certains endroits bien délimités ou des sons rappelant la vie à la campagne. Honnêtement, le titre est une bouffée d’air frais, assez nostalgique, jusqu’à ce qu’on se penche sur le scénario.

Comme d’habitude, vous me connaissez, je vais devoir verser ma bile sur les Français. Je suis Français. Mais cela ne m’empêcher pas d’être intraitable avec mon peuple, car mes compatriotes sont malades et le devoir d’un homme qui voit ses proches malades est, soit de les guérir, soit de leur rappeler qu’ils sont malades pour qu’ils se guérissent eux-mêmes et qu’ils fassent l’effort de s’en sortir. Ne pouvant pas guérir moi-même 65 millions de Français, je leur rappelle donc, chaque jour que Dieu fait qu’ils sont malades. Dordogne est un fabuleux témoignage de la maladie mentale incurable qui tue ce si grand peuple à petit feu : le gauchisme. Tout allait bien dans Dordogne, le scénario est un plaidoyer pour la famille, mais surtout pour les souvenirs d’enfance. Se basant sur deux temporalités, il donne la mesure de l’importance des souvenirs, du temps passé avec ses proches, de la douceur de vivre d’autrefois à un stade de la vie où, enfant, nous ne nous rendons pas compte de la chance que nous avons, du bonheur qui nous entoure. L’histoire se passe dans les années 80 quand l’héroïne, Mimi, n’est qu’une enfant, dans un coin perdu de campagne proche de Sarlat en Dordogne. Au départ, la petite fille s’ennuie et regrette de devoir passer des vacances avec sa grand-mère à la campagne puis, progressivement, elle s’émerveille de la nature environnante, prend du plaisir à partager des activités avec sa mamie et, surtout, fait la rencontre fortuite d’un camarade de jeu. Ce camarade de jeu, du même âge qu’elle, lui propose de partir à la recherche du dragon de la Dordogne, une fameuse légende locale. De là, ils partiront à l’aventure dans les bois et grottes à proximité pour tenter de dénicher le fameux reptile légendaire.

Sachez que la première chose qui est venue à l’esprit des développeurs, c’est d’introduire un enfant africain dans cette histoire. Le fameux camarade de jeu est en réalité un enfant noir. Je ne peux détailler son rôle dans l’histoire sans divulgâcher l’aventure, mais pourquoi ont-ils fait cela ? Il n’y a aucun intérêt scénaristique si ce n’est propager l’idéologie nauséabonde du progressisme. Quel esprit dérangé, quelle culpabilité maladive, quelle psychologie de fond de chiotte faut-il avoir pour se dire qu’un enfant noir à sa place dans une histoire se passant dans les années 80 au fin fond de la Dordogne en France bordel ? Pourquoi le progressisme, les gauchistes, les chantres du multiculturalisme prennent-ils un malin plaisir à détruire les images même de notre passé pour mieux nous faire accepter le présent merdique ? Un enfant qui joue à ce jeu en 2024 apprend qu’en Dordogne, de tout temps, des Africains vivaient en harmonie avec les Français de souche. Que leur présence dans les territoires les plus reculés du pays possédaient déjà son lot d’exotisme et que finalement, aujourd’hui, les dizaines de millions d’Africains sur notre territoire, et dans nos campagnes désormais, ne sont que la continuité logique de cette époque. Parce que ce n’est pas tout mesdames et messieurs ! Au début du jeu, vous devez vous rendre dans le petit village de Sarlat afin de faire des courses. Vous n’êtes pas prêts : le fromager du village (oui, un fromager) est un Africain également ! Sans déconner, je crois qu’il n’y a pas plus traditionnel, plus franco-français que le métier de fromager à la campagne, mais non, dans Dordogne, ce dernier est d’origine africaine. Vous comprenez, ça devait forcément exister en 1984, ceux qui prétendent le contraire ou qui s’en offusquent sont de facto racistes. Bien évidemment, la maraîchère du village est d’origine asiatique et 1 PNJ sur 6 environ se promenant dans le village est basané. La déchéance mentale du peuple français n’ayant plus aucune volonté de vivre mis en image par les très jolies aquarelles de Dordogne ! Lorsqu’on saborde son avenir en votant pour des fils de putes depuis 50 ans de peur d’être traité de « facho » par une caste de pédophiles d’extrême-centre et quand on déforme le passé pour le faire coller aux miasmes en putréfaction du progressisme idéologique d’aujourd’hui, il faut sincèrement être à un stade avancé dans le totalitarisme. Plus besoin de faire de propagande, les Français l’ont ingérée, ils la recrachent en mode pilote automatique sans que l’Etat n’est à lever le sourcil. Le stade ultime de la propagande dont aurait rêvé Goebbels ou la Pravda.

Vous comprenez qu’avec un tel postulat, je suis immédiatement sorti de l’histoire. Certes, les personnages sont tous attachants, la nostalgie omniprésente, les bons sentiments partout, mais je n’en peux plus de voir l’Afrique dans toutes les œuvres culturelles. C’est devenu un enfer. Nous, les Européens, n’avons plus le droit de vivre entre-nous dans le futur et sommes condamnés par l’immigration de masse voulue chaque année, chaque mandat, par nos dirigeants. Et dorénavant, on condamne notre passé, on mutile nos souvenirs en les manipulant par de fausses images, de fausses croyances, de fausses idées en y insérant leur idéologie de merde. Mais quel putain de cauchemar ! Dordogne aurait pu être un titre acceptable, mignon et original visuellement si les Français à la tête de ce projet n’avaient pas pour mission divine de tout gâcher en se donnant bonne conscience envers « je-ne-sais-qui » pour « je-ne-sais-quelle » raison. Sachez que je vous ai épargné dans cet avis le volet féminisme et lesbien aussi présent dans ce titre, ça fait beaucoup en à peine 5 heures de jeu… Bref, je ne recommande absolument pas ce titre, il ne faut plus donner de l’argent à ce genre de projet. Le Comte de Monte-Cristo (2024) sorti dans les salles cet été fut un bon signal, espérons qu’il fera date. 5/10, le même jeu vidéo sans la diversité : 8/10.

silaxe
5
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le 8 sept. 2024

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silaxe

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