L'histoire de Dungeon of the Endless est presque trop belle pour être vraie. Un jeu imaginé un soir de beuverie, développé par cinq ou six personnes dans leur coin, avec un souci constant pour les avis de la communauté. Un mélange des meilleurs aspects du rogue-like, du tower defense, du RPG, du tour par tour, avec une dimension tactique. Un équilibrage au poil, une direction artistique sublime, un humour permanent. Dungeon of the Endless n'est pas un petit jeu indépendant. C'est un grand jeu, proposé à un prix dérisoire pour la richesse de son contenu. Mais, plus perturbant encore, c'est Français. Et ça, ça nous dépasse.