Il y a très longtemps que je n’avais fait une aussi grande erreur en achetant un jeu vidéo. En recherche d’un bon jeu pour combler mon temps libre d’ici la sortie de Cities Skyline, je suis tombé sur Elite Dangerous, le trailer sur le PSstore vendait du rêve, et après avoir lu quelques forums, j’avais le feeling que j’allais retrouvé le plaisir que j’avais eu étant plus jeune en jouant à Tie Fighter sur PC. Ho la boulette!!!
Points positifs :
Les graphiques concernant l’espaces et les planètes
Les combats dogfight pas si mal
C’est tout, je n’ai rien trouvé d’autre…
Le jeu est lent…lent…lent…lent, on sort du hangar on voyage en hyperespace, on arrive dans un autre système, on s’amarre a un dock, on complète notre mission…. Et on recommence!
Aucun moyen de sauter ces séquences, vous savez pourquoi? Car c’est tout ce que vous avez à faire dans ce jeu…
Ça manque de rythme, on dirait un vieux jeu DOS, tout ce fait avec du texte, aucune cinématique, aucun changement de caméra.
Il n’y a aucune explication, on est qui, il faut faire quoi, on va où?
Certain vont répondre à ça, que le jeu ne doit pas toujours nous guider par la main, mais dans un jeu aussi énorme (400 millions de systèmes) il est très facile de se perdre
Je dois trouver un élément, genre composants électroniques et en rapporter dans la station. Sur la carte sa nous dit ce que les planètes produisent, mais très vaguement, genre agriculture, raffinerie…
Aucune assurance de trouver ce que tu cherches…
Il n’y a pas vraiment d’explication non plus concernant notre vaisseau, pas évident de trouver comment modifier notre bouclier (avant/arrière), il n’y aucune indication…
Il n’y a non plus aucun scénario et mission principale, on fait ce qu’on veut, c’est bien coter liberté, mais d’un autre sens, on se sent complétement perdu.
Sans parler des crashs sur PS4 lors des voyage ultra rapide dans les systèmes. Quasi-injouable.
J’ai pas réussi à endurer cela bien longtemps, j’ai joué 8hrs, j’ai trouvé ça pénible pendant 8hrs.
No man’s sky et maintenant Elite Dangerous, les jeux d’espaces ont la vie dure