Se promener dans les ruines de Washington DC dévasté par la guerre nucléaire accompagné d'un petit jazz des 60s et d'un mutant de 2 mètres 50, c'est possible. Et c'est drôle.
Alors évidemment, les esprits chagrin lui reprochent sa trop grande similarité avec Oblivion et son éloignement radical de ses prédécesseurs. Ils ont raison mais pourquoi juger un jeu sur le passé, et pas sur ce qu'il est?
Le jeu est un bac à sable radioactif et les possibilités d'exploration sont énormes, les surprises nombreuses et les trouvailles de gameplay fonctionnent bien (réparation/création d'armes, ralenti, etc). La quête principale est un peu courte, mais c'est un des rares gros défauts de ce jeu qui m'a fait aimer réparer mon fusil de chasse à l'ombre des restes du Washington Monument en buvant du whisky vaguement irradié.