Jeu DS, Fantasy Life est un petit bijou initiant les enfants aux RPG mais pouvant aussi convaincre les adultes, ce qui fut mon cas ! Jeu d’une très bonne durée de vie, il permet de contrôler un personnage, auquel peuvent s’ajouter jusque deux personnages, tous dotés de pouvoirs différents, force, magie, soin etc.
De forgeron à pêcheur, cuisinier, paladin, mercenaire, couturier même, mais aussi menuisier, chasseur, bûcheron, magicien ou mineur, vous évoluez en choisissant une de ces carrières. L’histoire se déroule en suivant les requêtes de notre pote non remplaçable pour avancer, Flotillon. Un papillon qui veut aller se balader çà et là dire coucou à tout le monde. C’est ainsi que plusieurs zones de jeu se débloquent au fil de la progression dans l’histoire. Néanmoins certaines carrières doivent être maîtrisées en même temps pour pouvoir avancer sans éviter tous les monstres en améliorer son équipement. Pour gagner des rêvah, on peut construire divers matériaux, bois, minerais, arme, canne, meubles, tapis, divers ameublements, vêtements, outils divers afin de les vendre et dans notre grand sac à dos, on peut stocker de la nourriture et autres élixirs pour augmenter ses forces en combat.
Se composant de sept chapitres, présentés comme « saga de Lunares », l’histoire est mignonnette, tout à fait correcte pour des enfants, pas désagréable pour les adultes. Il faut simplement sauver le monde et se bouger pour le faire. Territoire magique, château et ses abords, bateau pirate amarré dans un port cosy ou encore forêt avec son lot de peuples de feuilles et d’animaux, gros nounours inside, tout cela fait le charme du jeu. On peut tout au long du jeu échanger des items spécifiques avec les marchands et habitants dans chaque tableau que l’on traverse.
Le petit plus un peu Sims, on peut, au fur et à mesure, disposer de jusqu’à trois habitations aménageables tant en meubles, objets de décorations, sol etc. fabriqués ou achetés. Tout cela est dans l’ensemble assez marrant et je ne compte plus mes heures de jeu sur ce RPG. A partir de sept ans, il a tout d’un grand.