Un excellent portage. Le jeu reste identique à la version playstation sur le fond, mais les développeurs ont agrémenté les passages clef avec des cinématiques en cell shading abslument magnifiques et qui plus est brillamment doublées.
En terme de Gameplay, on retrouve ce qui a fait l'unanimité à l'époque, à savoir la possibilité de faire évoluer chaque personnage dans un job, lui conférant ainsi des abilités, des techniques, des invocations et des magies.
Les personnages et l'univers sont très développés, jusqu'à atteindre un niveau de maîtrise dantesque. Chaque détail est paufiné à l'extrême, de la musique aux décors. (rappelons que le jeu est sorti sur PS ONE)
La 3D isométrique à deux niveaux offre des perspectives plutôt innovantes pour l'époque et les différents niveaux permettent de jouer avec les hauteurs comme avec la profondeur de champs.
Faire évoluer ses persos jusqu'au Saint Graal des jobs, le chevalier sombre, requiert patience et leveling, mais quel bonheur !
La durée de vie ? Fantastique : j'ai dépassé les 190 heures de jeu. Que du bonheur.