Oui, je fais la critique du 2e opus après celle du 3e. Et, à vrai dire, j’étais à deux doigts de les réunir en une seule. Parce que niveau originalité et innovation, j’avoue que je n’ai pas été franchement scotché par les différences entre les deux. Je me concentre… Heu… Trois personnages ici au lieu de quatre ? Ah oui, je sais, dans le 2, on va chasser la pègre d’un pays à un autre afin de sauver la sœur de… à moins que ça soit la copine de… Enfin bref, on va sauver une fille (il me semble) et pour cela, on va parcourir le monde : Hong-Kong, l’Italie, la France (avec le Trocadéro façon post-PSG), les Pays-Bas (qu’on croirait sortie d’un tableau de Bosch), la Grande-Bretagne (et son train de cirque si typique) et le Japon (et sa pagode). Si les ennemis sont les mêmes tout au long du jeu (voire certains passeront aussi à la version 3. J’ose à peine imaginer qu’ils étaient déjà là lors du premier épisode), les boss sont bien caricaturaux (ah, le prisonnier Hollandais et le clown Anglais, qui ne dépareilleraient pas dans One Piece, et je ne parle pas du gros militaire français, qui doit s’enfiler des seaux de stéroïdes au petit déjeuner). Bon, je l’ai déjà dit, on ne cherche pas franchement de grandes innovations dans ce type de jeu, qui permettent principalement de se défouler (et de faire un peu n’importe quoi, merci le clavier !), et force est de constater qu’on s’amuse plutôt bien. En mode facile, bien entendu, mais c’est la faute de mes gros doigts…