Le jeu commence comme un décalque du jeu des années 90. On se réveille dans la jungle après un crash de véhicule aérien non identifiable. Notre cerveau est aussi vide que celui d'un amateur de TikTok, et notre avenir immédiat plus incertain que celui d'une Youtubeuse makeup. Mais contrairement à ceux-ci, l'urgence de la situation ne nous échappe pas, il faut se sortir de cette situation...
Première sensation : les graphismes sont magnifiques. Oui les refonte est une bonne idée. Deuxième constat, le sound design est un peu moins percutant. Troisièmement, les gameplay a été enrichi d'une couche "jeu de rôle" pas mauvaise en soi. Les énigmes ont été également enrichies. Ça part bien, c't'histoire...
Quand on arrive en ville, tout le monde change de trottoir.... Mais non, qu'est-ce que j'écris moi ? Je reprends.
Quand on arrive en ville, les enrichissements graphiques sont renforcés. C'est plein de lumières et de bonnes idées d'environnement. Les transports en commun ont été améliorés (à peu de frais, il fallait juste en rendre le fonctionnement plus logique) et la ville a plus de corps qu'avant.
On avance, on avance, on avance, c'est une évidence, on n'a pas assez d'essence pour faire la route dans l'aut' sens... Euh, pardon.
Vous vous rappelez de la Death Tower ? Le défi qui pouvait nous faire gagner de quoi retourner sur Terre, entre le Juste Cri, la Roue de l'Infortune et Running Man ?
Hébah c'est là que tout s'écroule. Les épreuves sont remplacées par des jeux de lancers de grenades avec calcul d'angle et de trajectoire aussi amusants qu'un match de curling catégorie poussins, et tellement simples qu'avec la meilleure motivation du monde j'ai pas réussi le premier.
Une super mauvaise idée qui casse la progression et le jeu en lui-même, puisqu'on n'en verra pas la moitié.