GhostWire: Tokyo
6.3
GhostWire: Tokyo

Jeu de Tango Gameworks et Bethesda Softworks (2022PlayStation 5)

Aprés Resident Evil, Devil May Cry, Viewtiful Joe, Killer 7, God Hand ou encore The Evil Within, Shinji Mikami et son studio reviennent avec un titre franchement prenant !


La ville de Tokyo a été envahi par un étrange brouillard et toute sa population a disparu. Sauf Akito, qui en outre se retrouve possédé par un être dénommé KK. Akito veut alors sauver sa soeur, mais va découvrir qu’elle est enlevé par une entité dont, coup de bol, veut se débarasser KK…


Et voilà un pithc propice à proposer une ambiance surnaturelle assez unique en son genre. Ce Tokyo vidé de sa population, et recrée à l’échelle, propose une liberté de déplacement assez remarquable avec un personnage qui s’amuse à grimper. Loin d’être du parkour, le jeu propose tout de même une bonne fluidité. Et ceci pour quoi ? Pour accomplir des missions principales bien sûr, mais aussi 42 missions annexes et des tas de collectibles à retrouver (peut-être même trop). Ultra généreux pendant 15 à 30h, le titre se dote en outre d’une VF de qualité et, en plus, d’un trés bon usage de la dual sense ! Surement le meilleur vu deuis un bon moment !


Alors c’est bien beau tout ça, mais que doit-on faire dans le jeu ? En vu à la premiére personne, le but sera donc d’avancer en combattant des « visiteurs », sortes d’esprits prenant la forme dérangeante d’habitude de la région. Type en costard, écoliére… le bestiaires n’est pas si varié mais posséde ce côté un peu glauque typiquement asiatique. Pour les affronter, on aura un arc, mais aussi des pouvoirs de feu, de vent, d’eau et des talismans. Certaines séquences du jeu, sans KK, demanderont même de se la jouer infiltration. Si tout cela ‘apparente à une sorte de FPS classique, la skin « exorcisme » fonctionne plutôt trés bien.


Evidemment, ce n’est pas tout ce qu’il y a à dire. Le titre offrant aussi tout un tas de documents améliorant le background, des quêtes annexes bien écrites, mais aussi un aspect RPG, avec des points de compétences acquis en finissant des missions ou en sauvant des âmes. Sans compter des compétences à débloquer mais aussi des objets à acheter bien sûr ! Et si le jeu n’est pas parfait techniquement, on ne peut que reconnaitre qu’il est plutôt joli et propose une expérience, en terme d’ambiance, assez unique en son genre !

DavidRumeaux
8
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le 7 avr. 2022

Critique lue 213 fois

3 j'aime

David Rumeaux

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