Bon, vous l'aurez compris, je suis un peu dans ma période Game Boy Advance, en ce moment. Mais que voulez-vous, je teste un peu tous les jeux que je voulais avoir dans mon enfance, et qui sont, aujourd'hui encore, disponibles quelque part. Parlons donc de "Godzilla Domination", que j'attendais avec impatience.
Premièrement, je ne l'attendais pas du bon côté; croyant tomber sur un intense jeu de destruction à grande échelle, je suis tombé sur un banal jeu de combat, avec un soupçon de destruction tout de même ( parce qu'il faut quand même bien garder quelques aspects de la mythologie de Godzilla ). Déja, cela commençait mal.
Mais le jeu, bien après ma première prise en main ( d'ailleurs simple et plaisante ), a réussi à me surprendre en m'y faisant prendre goût, et comme vous devez sûrement vous en douter, ce n'est pas tous les jours que cela m'arrive. Loin de m'ennuyer, j'ai bientôt commencé à prendre du plaisir à le tester.
En même temps, les conditions étaient réunies pour que l'expérience soit bonne : les graphismes, plaisants, assurent le taf, tandis que la jouabilité, efficace, amuse beaucoup. L'on retiendra, seulement, le manque de combots flagrants, qui gâche un peu l'expérience. La bande-son n'est pas excessivement énervante ( mais je ne l'écouterai pas pendant deux heures d'affilées ), et le scénario, à la limite de l'inexistant, ne manque pas.
L'on ne crachera également pas sur la durée de vie du titre, convaincante tant le challenge s'avère, une fois passées les quatre premières missions, élevé. Voilà donc un jeu convaincant et divertissant, et même s'il n'a pas marqué l'univers vidéoludique d'une pierre blanche, il permet, tout de même encore, de passer le temps.