Travail d'un seul homme, il pousse le concept rencontré dans Mirror Drop un peu plus loin : créer une multitude d'univers non euclidien dits hyperboliques.
Concrètement, ça donne le vertige. Le lointain peut paraître gigantesque comme microscopique. S'en approcher ouvre une ramification tentaculaire de dimensions cachées. Plus simplement tourner en rond ne ramène pas au point de départ. Des lignes sécantes peuvent être parallèles.
Prétexte à plusieurs mini jeu (tir à la carabine, course de drone, ski, plate-forme, etc) pour éprouver ces univers aux repères nouveaux. Certains sont réussis, d'autres un peu pénible.
Le développeur a rempli son univers en monde ouvert de PNJ bavards. C'est une grande déambulation pour trouver toutes les surprises. Le jeu aurait mérité un peu plus de cohérence.